Ituri : Début des travaux de construction de 45 bureaux de contrôle sanitaire aux postes frontaliers de Kasenyi, Ofo et Anzida par le Lieutenant Général Luboya N’kashama

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La population de la province de l’Ituri salue le début des travaux de construction de 45 bureaux de contrôle sanitaire aux postes frontaliers de KASENYI, OFO et ANZIDA. La santé n’ayant pas de prix, il est ici question d’un projet visant à améliorer le contrôle sanitaire entre l’Ouganda et la RDC, à partir de KASENYI en territoire d’IRUMU, à OFO en territoire d’ARU et ANZIDA dans le MAHAGI.

Activité qui a été lancée par le numéro un de l’Ituri le Lieutenant Général LUBOYA N’KASHAMA Johnny.

Il s’agit d’un financement de la Banque mondiale qui facilitera la construction de 45 bâtiments au total, bien équipés, à hauteur de plus d’un million de dollars américains.

Ce projet concerne les services de l’hygiène aux frontières et de la quarantaine animale diététique.

La mise en œuvre concerne l’Organisation Internationale pour la Migration.

L’un des bénéficiaires de ce projet qui va prendre 6 mois pense qu’il arrive à point nommé.

« C’est pour nous une joie aujourd’hui. C’est un projet qui a toujours fait l’objet des discussions depuis des années et pour en finir enfin. Aujourd’hui le projet voit le jour. Nos remerciements s’adressent à l’équipe du gouvernorat, à travers Son Excellence le Gouverneur Militaire, qui ne cesse de nous soutenir depuis le commencement du dit projet. Et voilà qu’il vient de voir le jour à KASENYI, l’un des territoires de la province de l’Ituri » s’exprime-t-il.

Le lieutenant Général et Gouverneur militaire LUBOYA N’KASHAMA Johnny a promis de faire le suivi du programme pour qu’il réussisse. Il a toutefois procédé à la pose de la première pierre.

« Cette confiance placée en nous, par nos partenaires maintenant est pour nous la première impression. Il s’agit notamment de l’OIM et la Banque mondiale. Une occasion pour nous d’interpeller tous ces jeunes. Nous sommes dans une autre phase où nous avons des fonds qui arrivent pour encadrer les jeunes. Au lieu d’aller créer la violence. Ils auront des fonds pour de petits et des grands travaux de la part de l’OIM. Pour qu’ils soient occupés à une activité valorisante et ne pas aller créer la violence ».