13 mai 2024

La Ponctualité

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La menace contre les agents à travers le sentiment anti Monusco

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Après les attaques des bases ainsi que certaine habitation des agents de la MONUSCO en juillet 2022 plusieurs personnes vivent dans la peur au ventre de suite de menace et atrocité commise par les manifestations qui avaient provoqué mort d’homme. Depuis juillet 2022, la série d’attaque des bases de la Monusco ne s’est pas seulement limitée à Goma, mais la quasi-totalité de la province du Nord Kivu, notamment l’ironie du sort les attaques physique et verbale n’étaient pas seulement limitées à l’institution Onusienne, mais également aux habitations des agents de la MONUSCO.  L’Escalade du sentiment anti Monusco à non seulement créer une psychose, mais également susciter des dossiers à certaine personne.


Pour faire face à ce sentiment de haine, la Monusco à ses tours pour sécuriser ses agents avait réduit l’empreinte de son staff afin de diminuer ce sentiment de méfiance, mais également mettre à l’abri son personnel dont certains étaient déjà indexés par les organisateurs de séries de manifestation contre la MONUSCO. Le cas le plus frappant c’est aussi les attaques et pillage des maisons des  agents de la MONUSCO en ville de Goma après la sortie médiatique de l’une de tète de proue des organisateurs en occurrence Ricky Paluku de la VERANDA MUCHANGA et Bwanapua qui s’était prononcé à la presse après une manifestation organisée par eux ; et pour justifier leurs actes ils ont promis de poursuivre la lutte : « Conformément à l’article 63 de notre constitution, là nous allons nous assumer, nous allons nous libérer à travers l’opération « TOYEBI NDAKO » NOUS CONNAISONS VOS MAISONS » c’est là veut dire, tout celui qui travaille avec cette  MONUSCO que nous avons jugée et considérée comme de terroriste contre le congolais , ils ont tué plus de 35 personnes ici au Nord Kivu. Nous allons nous battre contre eux et ça sera une opération musclée et lourde on s’assume », propos de BWANA PUA. Cette déclaration n’est pas partie dans les oreilles de sourd. Au lendemain de cette déclaration plusieurs résidences des agents de la MONUSCO avaient été saccagées et pillées. D’autres staffs commencés à recevoir des appels téléphoniques et de message de menace de mort.


Comment protéger le staff ?
La réduction d’empreinte et d’autres mécanismes pour sécuriser le staff Monusco n’a pas touché tout le monde, car certain ne pouvant pas exercer en télétravail ceux-là, malgré cette tempête de haine contre tous ceux qui travaillent à la MONUSCO, ce personnel continua à travailler malgré tout cas de Madame Esther. En réduisant les effectifs de la Monusco, il y a des agents qui travaillent temps plein comme Madame Esther, ce qui n’est pas du tout aisé, car elles sont indexées comme agents de la Monusco qui ont été pillés par les manifestants et emporté tous les biens dans leurs maisons. Face ce contexte malheureux s’en est suivi de règlement de comptes qui a motivé d’autres personnes de déménagé de Goma vers Gisenyi au Rwanda.
Actuellement le sentiment anti Monusco et le pillage des habitations de certains agents de la MONUSCO est un facteur qui n’augure pas un avenir certain à cette famille dont l’épouse travaille à la MONUSCO. Au stade actuel en dépit de mesures sécuritaire fourni par la Monusco où la femme travail une confusion plane on ne sait pas à ce stade dire qui pourra mettre en danger la vie de ce couple où le mari reçoit la menace de mort d’autre part l’opération « TOYEBI NDAKO » décrété par les mouvements citoyens organisateurs des manifestations continuera de narguer la MONUSCO. La crainte du lendemain est permise.

Esther Kavira