Quid avec la fin de la covid 19

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Alors que le Chef de l’État avait déclaré la fin du confinement sur toute l’étendue du territoire national tout en respectant des mesures barrières, il s’observe dans le chef de la population un comportement indigne a tel enseigne que le port des masques n’intéresse plus d’une personne qui se promènent  librement comme si la maladie n’était qu’ une histoire leur racontée et qu’elle-même ne l’avait pas vécu et continue à le vivre.  Il en a de même pour la distanciation une  question qui  semble  n’avoir plus son pesant d’or  car à certains endroits  tels que bars, boutiques, restaurants, marchés  la distance n’a plus sa place, on se promène même on dirait a la queue le le n’en parlons même pas.

Alors que les sources sanitaires parlent de la persistance de la maladie et des cas  sont toujours légions même après le de confinement.

Pendant ce temps, certains observateurs  continuent à se poser des questions sur la manière dont la population a été sensibilisée des lors sur l’existence de cette pandémie ainsi que ses effets néfastes sous une conjoncture déplorable. Ces observateurs pensent que les dirigeants congolais  ont tout intérêt à revenir à la raison car autant que le covid 19 tue, la famine tue également.

Le journal La Ponctualité dans ses différents interviews réalisées pendant cette période de la pandémie, constate que la majorité des habitants interrogés pensaient  que le corona virus est une maladie pré fabriquée des décideurs politiques tant nationaux qu’internationaux et que la population a plus besoin de l’amélioration du social congolais concept qui ne cesse de revenir sur les lèvres des politiciens congolais dont son application est une bête noire. Les autorités congolaises n’ont qu’à rectifier le tir pour continuer à donner la vraie information concernant  la covid 19 pour assurer la santé du souverain  primaire en République Démocratique du Congo.

 Entre temps les éléments de la police ont du pain sur la planche pour faire respecter les règles d’hygiène afin de lutter contre cette pandémie.  Parmi ces agents de l’ordre, certains sont pointés des doigts de  pouvoir fouler aux pieds les mesures édictées par les services sanitaires du pays.                                                                                                    Victor Bigati