21 novembre 2024

La Ponctualité

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Les membres de l’AFDC/A sont toujours déterminés à accompagner le Chef de l’État dans son mandat : Ernest SENGOMA

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Le communicateur national de l’AFDC/A  Ernest SENGOMA dit  être déterminé à accompagner le Chef de l’État après la rupture du mariage FCC CASH  par le Président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI et affirme avoir répondu à l’appel du Chef de l’État à rejoindre l’union  sacrée  en se mobilisant  vers les idéaux pour un changement positif tant attendu par le peuple congolais.

 

Il l’a dit au cours d’une interview accordée au magazine La Ponctualité montrant la volonté de son parti à rejoindre l’Union sacrée  qui prône un changement positif en République démocratique du Congo.

«Comme vous pouvez le constater, nous en sommes en rupture, le Chef de l’État a eu en octobre dernier à rompre le mariage FCC CASH. C’est à l’issue de ce divorce que nous AFDC/A  avons très vite rejoint le Chef de l’État, à son appel autour de l’union sacrée  pour la nation, il s’agit pour nous de nous mobiliser vers les idéaux, vers les idées du changement  du Chef de l’État, tel qu’il a prôné.  Nous savons bien qu’il est volontariste, très déterminé à faire la différence,  à relever les défis de la gouvernance pour laquelle il a été voté

Nous  AFDC/A  avons pris  une position politique  et sans équivoque qu’il  s’agit d’accompagner le Chef de l’État vers la réussite de ce mandat.

Nous avons mobilisé nos bases, nous avons mobilisé nos députés, nos populations, vous savez l’AFDC/A. C’est plus de 1millions 245 mille électeurs  en RDC c’est à dire nous  attendons jouer un rôle de choix, un rôle très déterminant au sein de cette union sacrée » dit-il.

À la question de savoir ce que la population peut attendre du président du sénat  Ernest SENGOMA indique qu’il y a beaucoup à attendre de celui-ci notamment la rétrocession  et beaucoup d’autres attentes dans le but de répondre à la misère de la population.

 

«Il faut que le sénat soit véritablement le porte-parole des problèmes de nos provinces, parce que elles souffrent de manque de la rétrocession de 40 pour cent ; il est aberrant que nous puissions attendre Kinshasa pour le financement des petits projets qu’on pouvait faire au niveau local, nous attendons que le président du sénat plaide auprès du gouvernement central, auprès des autorités supérieures pour que la rétrocession soit effective.

Deuxièmement nous attendons des reformes  par rapport à l’évolution technologique, par rapport aux impératifs du nouveau monde, qu’il y ait des reformes législatives  assez conséquentes pour permettre notre pays d’être au même standard de gouvernance que les autres nations.  Que le président du sénat dans son entièreté puisse être le vecteur  du financement des projets du gouvernement et des populations. Le sénateur et son bureau doivent mobiliser des fonds afin que le gouvernement provincial  et les ETD en général puissent avoir les moyens de financer différents projets  martèle-t-il.

Le professeur BAHATI LUKWEBO  qui hier était bloqué à la présidence du sénat  est aujourd’hui président de cette institution sous le règne de Félix Antoine TSHISEKEDI  que pensez vous

«Vous savez c’est un signe de destin, c’est à dire le sénat était de notre droit, parce que l’AFDC /A est le premier parti en terme de suffrage  collectés en faveur des députés provinciaux, nous avons 109 députés provinciaux  à l’échelle nationale et 41 nationaux. Nous avons considéré de droit comme le sénat est l’émanation des députés provinciaux  » a-t-il conclu.

 

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