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Le communicateur national de l’AFDC/A Ernest SENGOMA dit être déterminé à accompagner le Chef de l’État après la rupture du mariage FCC CASH par le Président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI et affirme avoir répondu à l’appel du Chef de l’État à rejoindre l’union sacrée en se mobilisant vers les idéaux pour un changement positif tant attendu par le peuple congolais.
Il l’a dit au cours d’une interview accordée au magazine La Ponctualité montrant la volonté de son parti à rejoindre l’Union sacrée qui prône un changement positif en République démocratique du Congo.
«Comme vous pouvez le constater, nous en sommes en rupture, le Chef de l’État a eu en octobre dernier à rompre le mariage FCC CASH. C’est à l’issue de ce divorce que nous AFDC/A avons très vite rejoint le Chef de l’État, à son appel autour de l’union sacrée pour la nation, il s’agit pour nous de nous mobiliser vers les idéaux, vers les idées du changement du Chef de l’État, tel qu’il a prôné. Nous savons bien qu’il est volontariste, très déterminé à faire la différence, à relever les défis de la gouvernance pour laquelle il a été voté
Nous AFDC/A avons pris une position politique et sans équivoque qu’il s’agit d’accompagner le Chef de l’État vers la réussite de ce mandat.
Nous avons mobilisé nos bases, nous avons mobilisé nos députés, nos populations, vous savez l’AFDC/A. C’est plus de 1millions 245 mille électeurs en RDC c’est à dire nous attendons jouer un rôle de choix, un rôle très déterminant au sein de cette union sacrée » dit-il.
À la question de savoir ce que la population peut attendre du président du sénat Ernest SENGOMA indique qu’il y a beaucoup à attendre de celui-ci notamment la rétrocession et beaucoup d’autres attentes dans le but de répondre à la misère de la population.
«Il faut que le sénat soit véritablement le porte-parole des problèmes de nos provinces, parce que elles souffrent de manque de la rétrocession de 40 pour cent ; il est aberrant que nous puissions attendre Kinshasa pour le financement des petits projets qu’on pouvait faire au niveau local, nous attendons que le président du sénat plaide auprès du gouvernement central, auprès des autorités supérieures pour que la rétrocession soit effective.
Deuxièmement nous attendons des reformes par rapport à l’évolution technologique, par rapport aux impératifs du nouveau monde, qu’il y ait des reformes législatives assez conséquentes pour permettre notre pays d’être au même standard de gouvernance que les autres nations. Que le président du sénat dans son entièreté puisse être le vecteur du financement des projets du gouvernement et des populations. Le sénateur et son bureau doivent mobiliser des fonds afin que le gouvernement provincial et les ETD en général puissent avoir les moyens de financer différents projets martèle-t-il.
Le professeur BAHATI LUKWEBO qui hier était bloqué à la présidence du sénat est aujourd’hui président de cette institution sous le règne de Félix Antoine TSHISEKEDI que pensez vous
«Vous savez c’est un signe de destin, c’est à dire le sénat était de notre droit, parce que l’AFDC /A est le premier parti en terme de suffrage collectés en faveur des députés provinciaux, nous avons 109 députés provinciaux à l’échelle nationale et 41 nationaux. Nous avons considéré de droit comme le sénat est l’émanation des députés provinciaux » a-t-il conclu.
La Ponctualité
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