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Au cours d’une interview accordée au magazine La Ponctualité, Nelly KAMANA candidate Député Nationale en ville de Goma a toujours été soucieuse de la jeunesse de Goma sa ville natale. Un tournoi dénommé Tuungane Pamoja est organisé pendant une semaine à l’intention des jeunes de tous les quartiers de la ville de Goma. C’est dans l’objectif d’éviter la délinquance juvénile dans la capitale touristique de la RDC.
« Pour éviter qu’il y ait la délinquance et autres nous avons décidé d’accompagner les jeunes, surtout ceux qui sont exposés à la délinquance pendant les vacances. Nous avons organisé un championnat pour les réunir et accompagner. Je suis jeune comme eux, je connais très bien leur problème et leur souci. Je suis passé par là, je n’aimerais pas que la jeunesse soit délaissée. C’est pourquoi, notre tournoi est dénommé Tuungane Pamoja » explique-t-elle. Elle ajoute que l’objectif est de pouvoir réunir les jeunes de la ville de Goma autours d’une même vision, qui est la recherche de la paix.
Qui est Nelly KAMANA ?
Nelly KAMANA est une dame, une gomatracienne. Née et grandie à Goma où elle a même fréquenté ses études ; primaires, secondaires et universitaires. Comme ambitieuse, celle-ci a choisi d’être porteuse du message de la jeunesse de Goma. Elle arrive à se déplacer dans le cadre même d’aider la jeunesse de Goma, c’est en ce peu des mots qu’on peut parler de Madame Nelly KAMANA
À la question de savoir si elle a tenue compte de tous les jeunes tendances confondues, cette future Député Nationale répond :
« C’est parmi les éléments clés. Si on a dénommé le tournoi Tuungane Pamoja, c’est parce qu’on sait que nous avons plusieurs tribus et ethnies dans la ville de Goma. Notre soucie c’est de les réunir. Nous avons choisi les équipes sur base de la géographie de la ville. Nous avons des équipes de Bujovu, Mugunga, Mabanga, bref, toutes les couches de la jeunesse sont représentées.
Cette élite intellectuelle du Nord-Kivu dit que le tournoi ne pourra prendre qu’une semaine ne voulant pas encombrer les jeunes dans leurs activités quotidiennes.
« Nous savons que certains de nos jeunes ont d’autres obligations professionnelles. Nous avons des gens qui sont dans le monde professionnel et d’autres que nous cherchons à aider dans la formation professionnelle. »
Victor BAGATI
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