Kigali : Le Président Félix Antoine Tshisekedi soucieux de la stabilité à l’est du Congo

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Pour le Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi, la paix ne peut venir que de la coopération  bilatérale respectueuse et rationnelle.

En ce sens, il a dernièrement effectué un déplacement de Kigali la capitale de la République Rwandaise où il a fait d’une pierre deux coups en participant à la 7^ème édition du forum des opérateurs économiques  africains et parler avec son homologue Paul Kagame, le président de la République Rwandaise. Au sortir de cette séance, en entretien avec les journalistes, le Président de la République Démocratique du Congo, a  exprimé à travers ses paroles le souci majeur de la cessation des hostilités à l’Est de son pays pour laquelle il est en train de se battre corps et âme. Il a souligné qu’il reste de cœur avec la population du Nord-Kivu plus particulièrement du territoire de Beni où se passent des actes d’atrocité perpétrés par la force terroriste ADF. Les efforts sont en train d’être déployés à divers niveaux  pour mettre fin à cette forme d’insécurité qui ne fait qu’endeuiller les populations congolaises, a-t-il précisé.

La contribution de tous les congolais, pour la sécurisation des citoyens et de leurs biens, a poursuivi le chef de l’Etat, reste inévitable et nécessite une attention de tous. Il a ensuite souligné qu’il veut d’abord travailler en amont, c’est-à-dire comprendre tout ce qui se passe autour de cette situation et pour qu’en aval voir comment y mettre un terme. Il a transmis  un message demandant à tous ceux qui sont impliqués dans le maintien de ce climat malsain, de ne pas continuer à faire souffrir les paisibles compatriotes. Cela, de peur qu’ils ne subissent la rigueur de la loi,  car  ses actions sont plus focalisées sur l’éradication de ces actes ignobles. Il ne baissera jamais les bras pour éradiquer ce problème d’insécurité, a-t-il insisté. Et de souligner, qu’il ne voit pas censé qu’un dirigeant accepte de voir le meurtre à répétition de ses administrés.  Il travaille, a-t-il conclu, en interne comme en externe, pour que cette question ait des réponses solides et  bénéfiques non seulement aux congolais mais également à l’Afrique entière.